Une signalisation routière bien conçue peu apporter des avantages importants au fonctionnement des lignes de transport en commun. Cette signalisation se décline sous deux formes :
La signalisation est fixe ou temporaire (pour des travaux, par exemple).
Elle concerne la circulation et le stationnement. Cette signalisation est surtout présente dans les cas où il y a des voies réservées et pour signaler les arrêts.
Ce dossier illustré présente quelques exemples de signalisation routière ayant un lien avec les transports publics et les véhicules de transport en commun.
Les voies réservées aux véhicules de transport en commun régulier nécessitent la mise en place d'une signalisation. Le panneau le plus utilisé est le B27a (voie réservée aux véhicules de transports en commun).
Avec l'intégration des voies cyclables, la lisibilité des panneaux peut se compliquer.
La signalisation est destinée aux automobilistes, mais aussi aux piétons comme ce panneau qui indique la présence d'un couloir bus en contre-sens.
Durant des travaux de voirie, une signalisation temporaire peut être mise en place avec des prescriptions particulières pour les bus.
Aux intersections, la priorité des véhicules de transport en commun peut être renforcée.
Certains carrefours à feux sont réglés pour donner la priorité aux autobus.
La signalisation permet d'informer sur les arrêts (ex : avertissement en amont) et autorise la circulation des cars scolaires sur des voies interdites à d'autres catégories de véhicules.
La signalisation sert essentiellement à réguler l'arrêt et le stationnement.
Dans certains cas, la circulation des cars de tourisme est aussi réglementée.
Les réseaux de tramway ont une signalisation spécifique liée au mode ferroviaire.
Un dossier dédié sera prochainement publié.